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Bonjour,
Vaste sujet de débat et quel dilemme ! Il serait intéressant de poser cette question à la nouvelle équipe fédérale, à la nouvelle commission Attelage, car les opinions des compétiteurs, des enseignants n’ont pas eu l’air d’arriver jusqu’à présent jusqu’à LAMOTTE. Donc fait-on un bis repetita avec ouverture de débat, d’échanges ou restons-nous encore une fois muets devant les décisions fédérales ?
Bien sûr qu’il faut moderniser l’approche de cette belle discipline,. Il faut la penser , non pas du côté équitant, mais du côté spectateur. Il faut vendre du spectacle, un spectacle vivant sécurisé, pour que les familles viennent passer un bon vivant de détente.
Il faut associer concours avec des manifestations autres à côté pour qu’un large public se déplace. Sinon à quoi bon de faire de l’inbreeding entre meneurs ?
Et en lisant l’interview de Marion Vignaud donné à GrandPrix, la question des voitures se posent, la question sur le rapport, sur le ratio poids de la tradition/ aspect sportif peut s’envisager.
Bonne journée
Bonjour Vitalis
Bien d’accord, le petit monde de l’attelage est bien passif….
J’ai lu l’interview de Marion. La voiture unique est déjà en place chez les amateurs.
Vous le dites vous même, “il faut faire du spectacle “, et je suis bien d’accord avec cette approche. Je ne crois pas , au moins pour le haut niveau, que la voiture unique soit la solution pour le spectacle, bien au contraire. Il faut conserver un haut esthétique pour les épreuves de dressage et de maniabilité. Et puis il y a tant de figures de dressage encore à explorer pour l’attelage solo… mais ça c’est moins facile que de chercher des solutions dans le matériel.
Pourquoi l’attelage de Tradition accueille plus de spectateurs que l’attelage sportif des amateurs? Pour les non initiés qui sont la majorité des spectateurs, croyez vous attractif de voir sur les dressages des voitures de marathon, des coéquipiers mal assis, mal habillés etc… comme me le dit une lectrice, “mémère assise à l’envers à ras de terre les cuisses écartées “.
Il faut que l’attelage sportif reste ce qui a fait ses heures de gloire pour le dressage et la maniabilité, pour le côté sport du marathon, on peut évoluer, avec les marques des sponsors par exemple.
J’imagine l’intérêt de la fédé, élargir la base pour plus de licenciés…. mais le cheval, l’attelage ne peut pas être une discipline populaire, car elle nécessite un minimum de moyens. … sinon à finir comme mon article un brin ironique.
Voyez vous j’aurais aimé faire du sport automobile ou plus encore apprendre à piloter un avion de tourisme, mais ce n’était pas dans mes moyens, et c’est comme ça! On a tous des rêves inaccessibles.
Merci pour votre intervention
Pour rebondir à vos propos, on en revient toujours à la même chose. Pour avoir des compétiteurs, il faut des enseignés. Pour avoir des enseignés, il faut des enseignants. Or, Il y si peu d’enseignants, de véritables écoles d’attelage que le mal commence à cette racine. Pas d’enseignés, donc pas d’intérêt pour cette discipline “invisible” dans les clubs classiques.
Ensuite, quand il y a des compétiteurs, il y a ceux qui s’orientent vers les poneys et ceux vers les chevaux. Et ensuite , on attèle à 1 ou en paire. L’attelage à 4 est exotique et le tandem a disparu. Ensuite, on a le côté sport ou le côté tradition. Et on peut même rajouter la discipline du trec attelé. C’est pour dire que toutes ces déclinaisons engendrent le problème de la visibilité, de la compréhension, déjà auprès du public averti ( celui qui pratique l’attelage) , alors que dire des non-initiés ? Donc, il faut savoir de quoi on parle, car là , on touche à différents publics, et aussi différents organisateurs de manifestations.
Donc, oui le trés haut-niveau doit rester la vitrine de l’excellence, au niveau technique pour avoir un rendu visuel dans le public avec la fameux waouh .
Et là où vous avez souligné un souci, celui de l’argent, celui des sponsors, celui de la visibilité . Et on en revient au chien qui se mord la queue.
Donc, une question ( qui risque de rester sans réponse). Quel est le meneur ( en restant anonyme bien entendu ) est capable de créer un bilan comptable de sa saison 2023, 2024 en y apposant le nombre de concours en France et/ou à l’étranger réalisés, le côut de chaque concours en terme financier, mais aussi en terme humain (car les grooms sont bénévoles, et non des salariés comme en CSO ou autre), et indiquer les gains numéraires réels.
A partir de là, on va vite comprendre le problème de financer un vrai concours de concours complet d’attelage, car dans ce budget, il y a les allocations de gains, et rebelote, le problème de trouver des sponsors. Que peut-on vendre à ces potentiels partenaires vis à vis d’une discipline non médiatisée ( ne pas confondre avec non médiatique, car tout comme le CCE, le marathon est médiatisable, tout comme le dressage, si nous avons des vrais speakers) aussi bien pour le budget d’une association organisatrice que pour des sportifs.
Et çà, c’est la vraie, la véritable question. Comment financer notre passion ?
Oui Enseignés > enseignants
Oui diverses disciplines de l’attelage
Oui l’effet “whaou” de la QUALITE
Oui l’argent
Un mauvais virage a été pris (et ce n’est pas le seul) , la suppression des dotations dans les concours “Elite”
Pour en revenir à la médiatisation de notre sport, du temps des Internationaux de Compiègne, l’organisateur payait France 3 pour un reportage … on n’est plus dans la même époque financière !
Cordialement