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L’ADN du FRANCHES MONTAGNES en expertise …

By 22 octobre 20243 Comments

3 Comments

  • Faut il écrire Franches Montagnes ou Franche Montagne selon les cas ?
    Cette question me taraude depuis longtemps… on trouve de tout sur internet, mon Larousse ne connait pas le Franche (s) Montagne(s) …
    Quelqu’un a t il un avis là dessus ?

  • juju juju dit :

    Je crois qu’il faut 2 s : Franches Montagnes. En tout cas, la tête de mule que je suis refuse de l’écrire autrement.
    Ma jument était dans le modèle ancien, un peu lourd, pas formidable au galop, mais avec un pas et un trot admirables, et l’épaule qui va avec…
    J’avais de beaux dressages qui compensaient largement son manque de célérité en marathon.
    Mais surtout quel adorable caractère !
    Après avoir mené des bolides, en prenant de l’âge, j’ai bien aimé cette sérénité.
    Je trouve regrettable tous ces croisements qui ont été entrepris afin de leur donner du gaz.
    Leur caractère n’y a pas gagné.
    Et ce n’était pas la finalité de ces chevaux…
    Enfin, comme l’aurait dit un certain Tonton, ce n’est que mon avis…

  • Merci chère Juju! Je suis soulagé, et résolument décidé pour mettre 2 S à Franches Montagnes dans tous les cas.
    Les évolutions des races sont toujours un problème. Evoluer ou pas ? quid de la consanguinité ?
    Il faut tout de même reconnaître que les éleveurs suisses cherchent à préserver la race du Franches Montagnes avec succès. Les éleveurs Néerlandais se régalent, ils ont puisé dans les races traditionnelles des Pays Bas, font de savants mélanges et inondent la discipline de l’attelage …
    L’arabo boulonnais aurait pu suivre une voie bien débutée pour faire un cheval d’attelage de sport français. Nos éleveurs français ont tout de même raté l’occasion ( Trotteur français ou Cob Normand par exemple) . Mais aucun intérêt, pas d’argent dans l’attelage, pas de retour sur les élevages.
    On peut dire aujourd’hui que l’expérience a tourné court… Non ?
    Il faut trouver une utilité économique pour sauver une race. N’en déplaise aux écolos, ce n’est pas en laissant le cheval dans les prés qu’il sera sauvé de l’extinction.
    Mais ce n’est que l’avis de Tonton.

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